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chery-love717

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Création : 11/01/2012 à 04:11 Mise à jour : 18/04/2018 à 04:28

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.Hier était doux au parfum du bonheur Ton sourire dès l'aube était ivresse Visage de grâce illuminant mon coeur Amour de ma vie tu étais délicatesse

 
 
 
 
 
.Hier était doux au parfum du bonheur Ton sourire dès l'aube était ivresse Visage de grâce illuminant mon coeur Amour de ma vie tu étais délicatesse
.Hier était doux au parfum du bonheur Ton sourire dès l'aube était ivresse Visage de grâce illuminant mon coeur Amour de ma vie tu étais délicatesse
.Hier était doux au parfum du bonheur Ton sourire dès l'aube était ivresse Visage de grâce illuminant mon coeur Amour de ma vie tu étais délicatesse
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#Posté le lundi 14 septembre 2015 23:49

Modifié le mardi 15 septembre 2015 11:39

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Herve-lemarcheur, Posté le mercredi 16 septembre 2015 16:33

Merci, mais ici, on a plus tôt eu une pluie tout court LOL !!!!


acteursactrices, Posté le mardi 15 septembre 2015 09:34

À Madame de Fontaine-Martel

Ô très singulière Martel,
J’ai pour vous estime profonde ;
C’est dans votre petit hôtel,
C’est sur vos soupers que je fonde
Mon plaisir, le seul bien réel
Qu’un honnête homme ait en ce monde.
Il est vrai qu’un peu je vous gronde ;
Mais, malgré cette liberté,
Mon c½ur vous trouve, en vérité,
Femme à peu de femmes seconde ;
Car sous vos cornettes de nuit,
Sans préjugés et sans faiblesse,
Vous logez esprit qui séduit,
Et qui tient fort à la sagesse.
Or votre sagesse n’est pas
Cette pointilleuse harpie
Qui raisonne sur tous les cas,
Et qui, triste s½ur de l’Envie,
Ouvrant un gosier édenté,
Contre la tendre volupté
Toujours prêche, argumente et crie
Mais celle qui si doucement,
Sans efforts et sans industrie,
Se bornant toute au sentiment,
Sait jusqu’au dernier moment
Répandre un charme sur la vie.
Voyez-vous pas de tous côtés
De très décrépites beautés,
Pleurant de n’être plus aimables,
Dans leur besoin de passion
Ne pouvant rester raisonnables,
S’affolier de dévotion,
Et rechercher l’ambition
D’être bégueules respectables ?
Bien loin de cette triste erreur,
Vous avez, au lieu de vigiles,
Des soupers longs, gais et tranquilles ;
Des vers aimables et faciles,
Au lieu des fatras inutiles
De Quesnel et de le Tourneur ;
Voltaire, au lieu d’un directeur ;
Et, pour mieux chasser toute angoisse,
Au curé préférant Campra,
Vous avez loge à l’opéra
Au lieu de banc dans la paroisse :
Et ce qui rend mon sort plus doux,
C’est que ma maîtresse, chez vous,
La liberté, se voit logée ;
Cette liberté mitigée,
À l’½il ouvert, au front serein,
À la démarche dégagée,
N’étant ni prude, ni catin,
Décente, et jamais arrangée ;
Souriant d’un souris badin
À ces paroles chatouilleuses
Qui font baisser un ½il malin
À mesdames les précieuses.
C’est là qu’on trouve la gaîté,
Cette s½ur de la liberté,
Jamais aigre dans la satire,
Toujours vive dans les bons mots,
Se moquant quelquefois des sots,
Et très souvent, mais à propos,
Permettant au sage de rire.
Que le ciel bénisse le cours
D’un sort aussi doux que le vôtre !
Martel, l’automne de vos jours
Vaut mieux que le printemps d’une autre.


acteursactrices, Posté le mardi 15 septembre 2015 04:36

À Madame de Fontaine-Martel

Ô très singulière Martel,
J’ai pour vous estime profonde ;
C’est dans votre petit hôtel,
C’est sur vos soupers que je fonde
Mon plaisir, le seul bien réel
Qu’un honnête homme ait en ce monde.
Il est vrai qu’un peu je vous gronde ;
Mais, malgré cette liberté,
Mon c½ur vous trouve, en vérité,
Femme à peu de femmes seconde ;
Car sous vos cornettes de nuit,
Sans préjugés et sans faiblesse,
Vous logez esprit qui séduit,
Et qui tient fort à la sagesse.
Or votre sagesse n’est pas
Cette pointilleuse harpie
Qui raisonne sur tous les cas,
Et qui, triste s½ur de l’Envie,
Ouvrant un gosier édenté,
Contre la tendre volupté
Toujours prêche, argumente et crie
Mais celle qui si doucement,
Sans efforts et sans industrie,
Se bornant toute au sentiment,
Sait jusqu’au dernier moment
Répandre un charme sur la vie.
Voyez-vous pas de tous côtés
De très décrépites beautés,
Pleurant de n’être plus aimables,
Dans leur besoin de passion
Ne pouvant rester raisonnables,
S’affolier de dévotion,
Et rechercher l’ambition
D’être bégueules respectables ?
Bien loin de cette triste erreur,
Vous avez, au lieu de vigiles,
Des soupers longs, gais et tranquilles ;
Des vers aimables et faciles,
Au lieu des fatras inutiles
De Quesnel et de le Tourneur ;
Voltaire, au lieu d’un directeur ;
Et, pour mieux chasser toute angoisse,
Au curé préférant Campra,
Vous avez loge à l’opéra
Au lieu de banc dans la paroisse :
Et ce qui rend mon sort plus doux,
C’est que ma maîtresse, chez vous,
La liberté, se voit logée ;
Cette liberté mitigée,
À l’½il ouvert, au front serein,
À la démarche dégagée,
N’étant ni prude, ni catin,
Décente, et jamais arrangée ;
Souriant d’un souris badin
À ces paroles chatouilleuses
Qui font baisser un ½il malin
À mesdames les précieuses.
C’est là qu’on trouve la gaîté,
Cette s½ur de la liberté,
Jamais aigre dans la satire,
Toujours vive dans les bons mots,
Se moquant quelquefois des sots,
Et très souvent, mais à propos,
Permettant au sage de rire.
Que le ciel bénisse le cours
D’un sort aussi doux que le vôtre !
Martel, l’automne de vos jours
Vaut mieux que le printemps d’une autre.


pattybijoux, Posté le mardi 15 septembre 2015 04:28

À Madame de Fontaine-Martel

Ô très singulière Martel,
J’ai pour vous estime profonde ;
C’est dans votre petit hôtel,
C’est sur vos soupers que je fonde
Mon plaisir, le seul bien réel
Qu’un honnête homme ait en ce monde.
Il est vrai qu’un peu je vous gronde ;
Mais, malgré cette liberté,
Mon c½ur vous trouve, en vérité,
Femme à peu de femmes seconde ;
Car sous vos cornettes de nuit,
Sans préjugés et sans faiblesse,
Vous logez esprit qui séduit,
Et qui tient fort à la sagesse.
Or votre sagesse n’est pas
Cette pointilleuse harpie
Qui raisonne sur tous les cas,
Et qui, triste s½ur de l’Envie,
Ouvrant un gosier édenté,
Contre la tendre volupté
Toujours prêche, argumente et crie
Mais celle qui si doucement,
Sans efforts et sans industrie,
Se bornant toute au sentiment,
Sait jusqu’au dernier moment
Répandre un charme sur la vie.
Voyez-vous pas de tous côtés
De très décrépites beautés,
Pleurant de n’être plus aimables,
Dans leur besoin de passion
Ne pouvant rester raisonnables,
S’affolier de dévotion,
Et rechercher l’ambition
D’être bégueules respectables ?
Bien loin de cette triste erreur,
Vous avez, au lieu de vigiles,
Des soupers longs, gais et tranquilles ;
Des vers aimables et faciles,
Au lieu des fatras inutiles
De Quesnel et de le Tourneur ;
Voltaire, au lieu d’un directeur ;
Et, pour mieux chasser toute angoisse,
Au curé préférant Campra,
Vous avez loge à l’opéra
Au lieu de banc dans la paroisse :
Et ce qui rend mon sort plus doux,
C’est que ma maîtresse, chez vous,
La liberté, se voit logée ;
Cette liberté mitigée,
À l’½il ouvert, au front serein,
À la démarche dégagée,
N’étant ni prude, ni catin,
Décente, et jamais arrangée ;
Souriant d’un souris badin
À ces paroles chatouilleuses
Qui font baisser un ½il malin
À mesdames les précieuses.
C’est là qu’on trouve la gaîté,
Cette s½ur de la liberté,
Jamais aigre dans la satire,
Toujours vive dans les bons mots,
Se moquant quelquefois des sots,
Et très souvent, mais à propos,
Permettant au sage de rire.
Que le ciel bénisse le cours
D’un sort aussi doux que le vôtre !
Martel, l’automne de vos jours
Vaut mieux que le printemps d’une autre.


Mika-l-Ange, Posté le mardi 15 septembre 2015 03:22

Bonne journée bisous :)


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  • je t’envoie un bateau de caresse sur un océan de tendresse pour te souhaiter bonne nuit  Je t'envoie un baiser d'amour, qui léger comme une plume, viendra se poser sur ton oreiller pour te joindre dans tes rêves bonne nuit mon c½ur   Bonne nuit mon amie, que ta nuit soit détente et relaxation Bonne soirée mon amie, que cette fin de journée soit une poésie Bonsoir à toi que j’aime, ce poème te rappelle mon affection Repose-toi le c½ur en paix, repose toi, retrouve ta belle énergie   Ne plus être avec toi à cette heure, ne plus entendre battre ton c½ur, ne plus sentir ton odeur, est pour moi la plus terrible des douleurs. Bonne nuit...   Tu te couches loin de moi. Regardes dans le ciel, tu vois l'étoile qui brille très fort, c’est le baiser que je t'envoie pour te souhaiter une très bonne nuit.   Mes yeux refusent de se fermer parce qu'il me reprochent de ne pas t'avoir souhaité bonne nuit, alors je te souhaite de tout mon c½ur douce et agréable nuit.     Bonne nuit petit ange Fait de jolie rêve et passe le bonjour Au petites étoiles la haut dans le ciel Douce nuit sous le clair de lune Que dieu te garde une place au paradis près de lui Que tes rêves te guide vers le bonheur  Je t'envoie un drap de bonheur, une couverture de douceur et 1 oreille d'amour j'espère qu' avec tout ça tu vas dormir, bonne nuit!   Pour cette nuit calme et fraiche je t’offre une guitare a cinq cordes: Amour, paix, joie, bonheur et tendresse. C'est à toi de jouer la plus belle mélodie. Passe une bonne nuit et fait de très beaux rêves!   La vague de la mer, la lune, les étoiles, les parfums du monde, les anges du paradis sont tous réunis autour de ton lit pour te souhaité une bonne nuit!   A cet instant je voudrais être une vague de douceur et de chaleur pour t'accompagner tout la nuit qui vient de commencé...Fais de beaux rêves.   Ouvre la fenêtre sur le ciel, tu verras deux étoiles l'une à côté de l'autre se sont mes yeux qui te garde en te souhaitant bonne nuit.  Je t'envoie un baiser d'amour, qui léger comme une plume, viendra se poser sur ton oreiller pour te joindre dans tes rêves. Bonne nuit mon c½ur   Mes yeux refusent de se fermer parce qu'il me reprochent de ne pas t'avoir souhaité bonne nuit, alors je te souhaite de tout mon c½ur douce et agréable nuit. dim. 13 septembre 2015
  • . sam. 12 septembre 2015
  • . sam. 12 septembre 2015
  • Ils ne parlent plus Ou seulement , parfois , du bout des yeux Ils sont pauvres , toutes illusions perdues Leur seul trésor : un c½ur pour deux Chez eux , ça sent le thym , le propre et la lavande Et l’on retrouve le verbe d’antan jeu. 10 septembre 2015
  • . mer. 09 septembre 2015
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